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 Time to play the game

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Jacob E. Ross
Jacob E. Ross
Administratrice
Métier : Rancher
Informations : Time to play the game Ross-family1

Physique - 1m90 » 95kg » Cheveux longs ramenés en arrière, barbe de plusieurs jours mal entretenue, yeux noirs » Plusieurs cicatrices sur les mains et les bras dues à son métier » Gabarit imposant, Jacob se tient voûté pour se faire plus petit » Porte un médaillon qui appartenait à sa mère autour du cou avec une croix chrétienne

Détails - Grand timide, il bégaie face à des inconnus, ne va jamais vers les autres » Passionné par sa profession, il passe le plus clair de son temps avec les animaux » Tempérament d'apparence solitaire, Jacob aime pourtant la compagnie des autres » A été marié, deux fois » Il a un fils, appelé Victor qui a 20 ans, avec qui les relations sont compliquées, voire conflictuelles » Sa demi-sœur, Phoebe, et son demi-frère, Cooper, sont avec lui » Abhorre la violence sous toutes ses formes, il privilégie le dialogue à l'action » Les gens le trouvent faible psychologiquement, Jacob est un grand sensible, trop gentil » Fervent croyant depuis toujours » Les préceptes de New Eden sont parfois en conflit avec sa morale, il souffre silencieusement de devoir les appliquer. Jacob ne se dressera sous aucun prétexte contre l'ordre en place, trop reconnaissant que sa famille et lui soient en vie grâce à eux.

Présent -
Sam 20 Jan - 22:40

Reese fixa la blonde trop bien coiffée sur l’estrade d’un regard perçant. Sans écouter le discours engageant qui était récité comme une poésie d’école trop bien apprise, elle resta rivée sur elle, incapable de s’en défaire. Les bras croisés contre sa poitrine menue, le regard fermé à la discussion des quelques partisans venus se trouver des excuses pour être des abrutis en communauté, elle envoya bouler d’une œillade assassine l’abruti le plus proche qui tenta de lui adresser la parole. Elle n’était pas là pour ça. Blottit dans son manteau d’hiver, une écharpe coulant sur ses épaules, les cheveux relevés en un chignon haut, elle ne donnait pas l’impression d’être flic aujourd’hui.

Pourtant, elle l’était. Ou tout du moins comptait-elle l’être pour quelques minutes au moins, le temps d’atteindre sa cible et l’isoler. Lorsque le meeting prit fin, elle ne quitta pas la jeune femme du regard, et résolue, elle resta en retrait mais à porter d’œillade pour être sûre de ne pas la perdre. Le cœur battant à tout rompre, la brune avait tout à fait conscience qu’elle était à deux doigts de faire une connerie, et qu’il n’y aurait personne pour rattraper derrière. Justement parce qu’elle ne comptait pas impliquer Ayden, et que le froid entre Heather et elle était encore trop polaire pour qu’elle ne l’appelle au secours.

Elle était cependant persuadée que sa démarche était pour la bonne cause. Ils en avaient tous besoin, et ça ne serait pour une fois pas Peter qui viendrait lui faire une remarque sur son comportement. Puisqu’ils peinaient à avoir des renseignements, il fallait aller à eux. Les attendre ne servait plus à rien. Et pour ça, Reese se disait qu’il fallait viser celle qui semblait être la plus faible du lot, sinon la plus malléable. Peut-être injustement, son regard s’était porté sur la sœur Schwartz, qui accompagnait son jumeau dans quasiment tous ses déplacements.

Une femme avec les dents longues, un parcours professionnel exemplaire. Mais sur le lot de gens tournant autour de cette campagne déroutante, la brune estima Lucy comme, d’une part la plus accessible à la discussion, et suffisamment proche des secrets pour pouvoir en parler. L’avantage que mettait Reese dans sa démarche était la surprise que son arrivée parviendrait à créer. Elle ne devait probablement pas s’attendre à ce que quiconque ne vienne la déranger pour un entretien avec un agent de la police criminelle de Boston.

« Lucy Schwartz ? » Souffla Reese en s’approchant dans la foule, sortant sa plaque et montrant son arme à sa hanche, dont elle ne se séparait jamais. On l’avait laissé rentrer avec justement parce qu’elle était policière, et Lucy devait être au courant de sa présence, au moins les membres de son entourage politique organisant ce meeting. « Veuillez me suivre s’il vous plait, j’aurais quelques questions à vous poser. » Souffla-t-elle sans s’appesantir sur des précisions.

Son faux sourire cherchait à la rassurer – a priori, elle n’allait pas la coller en prison sous un motif fallacieux. Même si avec son maquillage trop parfait et ses cheveux blonds magnifiques, l’envie ne lui manquait pas. Elle montra juste la route vers la sortie, où se trouvait son véhicule pour lui servir d’escorte.
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Lucy Schwartz
Lucy Schwartz
Modératrice
Métier : Directrice Marketing
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Véhicule : Ford mustang de 70
Inventaire : Bombe de poivre en spray.
Dim 4 Fév - 18:54


Time to play the game

Reese & Lucy


Une fois de plus, ta présence était de mise.Tu n’étais pas seulement la cofondatrice du parti, mais également une fervente partisane. Tu croyais dur comme fer aux valeurs du parti que ton frère et toi aviez fondé. Tu voulais voir naître un avenir meilleur pour l’ensemble des habitants de Boston. Les politiciens étaient presque tous corrompus à tes yeux et tu étais presque certaine qu’avec ton frère vous pouviez être la bouffée d’air frais qu’il manquait à ce domaine. Nullement attirés par appât du gain, votre but était plus louable que cela. Ayant grandi dans un environnement convenable, rien ne vous obligeait à prendre le parti de personnes bien moins favorisés que vous. Mais si personne ne faisait rien pour son semblable, quelque soit sa classe sociale, ses origines ou sa religion, qui le ferait ? Les choses devaient changer, et cela changerait avec vous. Consciente que ta vision utopique était loin de se réaliser, il fallait bâtir un parti solide, brique par brique. C’était dans les petites actions que vous prouverez votre valeur et que quelque chose de réellement durable pourra se mettre en place. En attendant, il fallait se faire connaître, qu’on entende parler de vous pour les bonnes raisons.

Debout sur l’estrade, tu faisais face à la foule.  Petite certaine, mais cela n’avait pas d’importance. Ce qui comptait c’était de pouvoir donner un peu d'espoir à ces gens. Les rassurer sur ce qui se passait et surtout leur promettre des solutions. De vraies solutions et non pas des idéaux irréalisables que certains aimaient clamés à tout va pour faire taire la population. Les gens avaient peur. Toi-même tu commençais à craindre une tragédie. Il faut dire que les hauts dirigeants ne semblaient pas se rendre réellement compte de l’urgence dans laquelle vous vous trouviez. Carter passait la plupart de son temps au téléphone ou à courir à droite et à gauche pour s’assurer que les quarantaines étaient bien mises en place ou que des vivres étaient distribués aux personnes dans le besoin. Tu l'accompagnais aussi souvent que possible délaissant ton poste de Directrice Marketing. De toute façon, la plupart des personnes sous tes ordres ne venaient presque plus de peur d’attraper la grippe, alors, que tu y sois ou non, ça ne changeait pas grand-chose.  La réunion d’aujourd’hui pris fin mais tu restais en place, attendant qu’on te donne le feu vert pour rejoindre la foule. Juste avant de descendre de l’estrade quelqu’un vient t’avertir qu’un policier se trouve parmis la foule, tu notes l’information sans vraiment te soucier de cela pour le moment.

Sauf que quelques minutes à peine après avoir rejoint la foule, cette réalité te frappe de plein fouet. Une brunette s’adresse à toi tout en te montrant son badge et son arme. Tu poses les yeux sur l’arme qu’elle porte à la ceinture et remontes jusqu’à retrouver son visage.Le fameux policier est en réalité une policière et son regard dur ressemble parfois au tien. Gardant un ton neutre et détaché tu te contentes simplement de lui répondre : — C’est bien moi, je peux vous aider ? Mais la réponse que t’offre cette femme est loin de te plaire. T’excusant brièvement face aux personnes avec lesquelles tu te trouves, tu fais quelques pas avec cette représente de l’ordre avant de t’arrêter sur place une fois à l’écart de toutes oreilles indiscrètes. — Excusez moi, mais est-ce une arrestation ? Si oui, pour quels motifs ? Tu ne voulais pas la défier, mais suivre une policière qui n’était finalement pas en uniforme et qui, en réfléchissant ne t’avais pas donné plus d’informations sur les questions qu’elle avait à te poser, ça te parut louche. —Désolé de cette question, mais pourquoi vous ne portez pas votre uniforme ? Etes-vous au moins en service ?

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Jacob E. Ross
Jacob E. Ross
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Physique - 1m90 » 95kg » Cheveux longs ramenés en arrière, barbe de plusieurs jours mal entretenue, yeux noirs » Plusieurs cicatrices sur les mains et les bras dues à son métier » Gabarit imposant, Jacob se tient voûté pour se faire plus petit » Porte un médaillon qui appartenait à sa mère autour du cou avec une croix chrétienne

Détails - Grand timide, il bégaie face à des inconnus, ne va jamais vers les autres » Passionné par sa profession, il passe le plus clair de son temps avec les animaux » Tempérament d'apparence solitaire, Jacob aime pourtant la compagnie des autres » A été marié, deux fois » Il a un fils, appelé Victor qui a 20 ans, avec qui les relations sont compliquées, voire conflictuelles » Sa demi-sœur, Phoebe, et son demi-frère, Cooper, sont avec lui » Abhorre la violence sous toutes ses formes, il privilégie le dialogue à l'action » Les gens le trouvent faible psychologiquement, Jacob est un grand sensible, trop gentil » Fervent croyant depuis toujours » Les préceptes de New Eden sont parfois en conflit avec sa morale, il souffre silencieusement de devoir les appliquer. Jacob ne se dressera sous aucun prétexte contre l'ordre en place, trop reconnaissant que sa famille et lui soient en vie grâce à eux.

Présent -
Dim 4 Fév - 19:22

« Ce n’est pas une arrestation… » Assura Reese à la jeune femme, qui se braqua presque immédiatement.

Oh, elle n’en avait pas l’air évidemment, c’était même tout le contraire. Son air ouvert, son assurance, tout ça laissait penser qu’elle ne faisait que s’enquérir de la vérité, comme une bonne politicienne en campagne. C’était ça que Reese détestait avec les gens faisant ce genre de boulot : l’art et la manière qu’ils avaient de manipuler les images. Là où elle discernait évidemment de la méfiance, eux affichaient une certaine bonhomie, comme si c’était tout naturel de remettre en doute ses propres dires. C’était comme une partie d’échec, et la brune détestait ça.

Mieux valait jouer finement pour le coup. Elle laissa un silence s’installait entre elles, la scrutant d’un œil toujours pareil à lui-même. Aucune expression de la trahissait. Elle était d’un calme olympien, même si sa dernière question ne fit que lui arracher un petit rictus, qu’elle tenta de faire le moins méprisant que possible. Elle y parvint, alors qu’un petit rire lui échappait :

« Si vous préférez qu’on aille dans une pièce à l’écart, je tiens à être dans un endroit calme pour discuter. » En tête à tête, c’était sous-entendu. Appeler un avocat ne serait pas nécessaire à l’évidence, parce que même si Reese ne l’admettrait pas envers sa vis-à-vis, la discussion n’aurait rien d’officielle, et elle ne comptait pas le crier sur tous les toits. « Vous êtes libre de partir quand vous le désirez… Même si une entière collaboration serait appréciée. »

Et la brune pesa ses mots. Appréciée, certes. Surtout pour la réputation de la jeune femme et de son parti. C’était plus que nécessaire qu’ils montrent patte blanche, qu’on ne vienne pas fouiner davantage dans leurs affaires. Elle connaissait quelques journalistes qui seraient ravis d’aller creuser de leurs côtés, pour y déterrer les cadavres cacher dans leur jardin. Une chose dont la jeune femme n’avait probablement pas envie.

« Je suis enquêtrice, madame. » Répondit-elle finalement. « Je n’ai pas d’uniforme. Par contre, j’ai mon gilet pare-balle dans ma voiture si vous voulez aller vérifier. Je ne suis à priori pas tenue de le porter ici, l’endroit n’est pas à risque. » Ajouta-t-elle.

Alors non, elle n’était pas en service, mais puisqu’il fallait creuser le bluff jusque-là, elle était prête à tenir la distance : ça déstabiliserait peut-être son adversaire ou lui permettrait de collaborer plus rapidement. Néanmoins, Reese eut l’air d’être pressée par le temps aussi, alors qu’elle regardait sa montre rapidement avant de revenir vers Lucy. A nouveau, elle présenta sa plaque, la garda bien sous le nez de la blonde :

« J’ai aussi une plaque, un numéro de policier, et si vous tenez, vous pouvez appeler mon central pour vérifier mes dires. » Aurait-elle le culot de faire la démarche ? Elle n’en savait rien. Un brouhaha constant en arrière plein attira son attention, et déjà la foule semblait s’amasser autour d’un petit groupe où une discussion pour le moins houleuse éclatait. Ses yeux revinrent vers Lucy l’instant d’après : préférait-elle aller se mêler à eux ?
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Lucy Schwartz
Lucy Schwartz
Modératrice
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Mar 27 Fév - 12:19


Time to play the game

Reese & Lucy


Tu ne feras pas un pas de plus tant que tu ne seras pas éclairé sur la situation. S’il y avait un problème, quel qu’il soit, tu voulais le savoir maintenant. Même si la brune ne semble rien laisser paraître tu sembles lires de l’agacement dans ses yeux. Et c’est là que tu comprends qu’il y a quelque chose de plus que ce qu’elle veut bien te dire. Tu pinces doucement les lèvres. C’est une mimique que tu réalises sans t’en rendre compte mais tu le fais à chaque fois que tu te mets à analyser les situations. Il te manque un élément, essentiel apparemment étant donné le silence que t’offre cette policière pour toute réponse. Le silence et un rire à peine maîtrisé. Cette fois, c’est tes yeux que tu plisses. — Apprécié, hum. , tu répètes. Donc, en réalité, si elle avait bien compris, cette flic voulait simplement lui poser des questions mais elle n’était ni en état d’arrestation ni quoi que ce soit d’autre apparemment. Donc au final elle pouvait tout simplement décider de ne pas la suivre.

— Je vous avoue, que j’ai un peu du mal à comprendre. Vous n’avez aucun mandat, ni rien. Même si je ne doute pas de votre statut d’enquêtrice., c’était d’ailleurs la seule chose dont tu ne doutais pas. —Et vous voulez me parler, enfin me poser des questions sur un sujet inconnu. Hum. Donc, si je résume bien, je n’ai aucune obligation de vous suivre, et/ou de vous répondre mais vous trouverez ça appréciable que je le fasse. C’est bien ça ? Il n’y avait aucune méprise malgré des mots qui pouvaient en avoir. Tu ne voulais pas chercher une policière gratuitement. Tu énumérait simplement les faits pour être sûre d’avoir bien compris la situation, qu’elle soit aussi claire pour elle que pour toi.

Lorsque la brune te recolle sa plaque sous le nez, tu agites les mains devant toi. — Je ne doute pas de votre franchise. J’aimerais comprendre la raison qui vous pousse à vouloir me parler, à moi, sur un sujet dont je ne sais toujours rien. Mais peut-être vous avez raison, un coup de fil à votre central éclairera peut-être la situation. . Tu sortis rapidement ton portable de ta poche prête à donner ce coup de fil lorsqu’un échauffement parvint à tes oreilles. Immédiatement, tu détournes les yeux pour observer la scène. Un homme, présumé en colère au vu des traits de son visage commence à s’en prendre à l’un de tes portes paroles. Ceux de ton parti. Et tu n’aimes pas trop ça. Tu comprends bien vite qu’il tient un microphone dans la main et cherche à obtenir une information de leur part. Un des agents de sécurité sur place vient s’interposer mais l’homme en question semble bien trop furieux pour simplement laisser tomber. Sur l’instant, tu ignores comment intervenir, car il est hors de question que tu restes là sans rien faire.

Puis d’un coup, tu as le déclic. Ca s’illumine dans ta tête et tes yeux bleus viennent se poser avec un petit sourire sur la brune toujours à côté de toi. Un petit sourire étire tes lèvres et tu commences : — Et si, en échange de réponse à vos questions, je vous demandais un petit service ? Tu la scrutes intensément. Tu cherches le doute dans ses yeux mais poursuis tout de même. — Je ne veux pas d’un scandale à la sortie du meeting. Aidez-moi à gérer convenablement cet homme et faire partie mes portes paroles et je vous suivrais et vous donnerais toutes les réponses que vous voulez. Docilement., tu répliques en rangeant ton téléphone dans ta poche. Maintenant, c’était à elle de voir ce qu’elle voulait. Tu tiendrais parole mais de toute manière, tu n’étais tenu devant aucune loi de la suivre.

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Jacob E. Ross
Jacob E. Ross
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Physique - 1m90 » 95kg » Cheveux longs ramenés en arrière, barbe de plusieurs jours mal entretenue, yeux noirs » Plusieurs cicatrices sur les mains et les bras dues à son métier » Gabarit imposant, Jacob se tient voûté pour se faire plus petit » Porte un médaillon qui appartenait à sa mère autour du cou avec une croix chrétienne

Détails - Grand timide, il bégaie face à des inconnus, ne va jamais vers les autres » Passionné par sa profession, il passe le plus clair de son temps avec les animaux » Tempérament d'apparence solitaire, Jacob aime pourtant la compagnie des autres » A été marié, deux fois » Il a un fils, appelé Victor qui a 20 ans, avec qui les relations sont compliquées, voire conflictuelles » Sa demi-sœur, Phoebe, et son demi-frère, Cooper, sont avec lui » Abhorre la violence sous toutes ses formes, il privilégie le dialogue à l'action » Les gens le trouvent faible psychologiquement, Jacob est un grand sensible, trop gentil » Fervent croyant depuis toujours » Les préceptes de New Eden sont parfois en conflit avec sa morale, il souffre silencieusement de devoir les appliquer. Jacob ne se dressera sous aucun prétexte contre l'ordre en place, trop reconnaissant que sa famille et lui soient en vie grâce à eux.

Présent -
Sam 17 Mar - 14:50

« Je n’ai besoin d’aucun mandat pour vous parler. Je ne vous mets pas en état d’arrestation. » Rétorqua-t-elle finalement. « Vous avez quelque chose à cacher pour essayer de vous éclipser comme ça ? Je vous avoue que c’est votre comportement qui est suspect, présentement. » Fit-elle en la regardant de haut en bas, en essayant de discerner la raison de ce soudain changement de tempérament. « Je ne comprends pas pourquoi vous êtes autant sur la défensive. »

Elle ne s’attendait pas à ce que ça soit facile, mais pas non plus à ce qu’arriver à obtenir ses réponses, ça soit la croix et la bannière. Fixant la blonde en face d’elle, elle ne put s’empêcher de froncer les sourcils, un peu par dépit, par étonnement. Il n’y avait bien que les gens coupables qui s’échinaient à esquiver les questions. De là à savoir de quoi il s’agissait, coupable de quel crime, il y avait encore un monde. Il n’y eut bien qu’une intervention extérieure pour lui permettre de passer à autre chose, de s’approcher de ce qui l’intéressait. Un peu anxieuse à l’idée que Lucy appelle en effet son central, l’effusion de colère la sauva d’un blâme supplémentaire.

« Je m’en occupe. Ne bougez pas d’ici. » Assuma Reese à la demande de la blonde, lorsque celle-ci lui proposa un deal.

Les mains dans les poches, elle avisa sa vis-à-vis de ne vraiment pas bouger. Elle n’en avait que pour quelques minutes. Tout du moins, ce fut ce qu’elle pensa. Perçant dans la foule, elle se retrouva vite au niveau du forcené avant de se présenter à lui et de lui montrer sa plaque. Elle eut droit à quelques insultes dans son hautparleur, avant de permettre au porte-parole du clan Schwartz de s’esquiver. Si l’individu tenta de forcer le passage jusqu’à lui, Reese s’interposa et l’en empêcha. Physiquement. Une première fois, puis une seconde lorsque l’homme tenta de la repousser. La troisième fut celle où elle le mit violemment à terre avant de le menotter, les deux mains dans le dos.

« Vous voulez vraiment qu’on rajoute violence sur agent à votre casier avec l’agression qui vous pend au nez ? » Lui demanda-t-elle alors que l’homme se débattait.

Quelques insultes supplémentaires, et elle demanda aux gardes du corps d’escorter l’homme jusqu’à une pièce annexe, le temps que le meeting s’évacue et qu’elle ait sa conversation avec Lucy. De même, il lui faudrait appeler une voiture de patrouille pour l’escorter jusqu’à un commissariat. Ça, elle s’en chargeait. En tout cas, en revenant sur ses pas, vers Lucy, devant qui elle se planta :

« Vous vous attendiez à moins violent j’imagine, mais il en m’a pas laissé le choix. Vos employés l’amènent dans une arrière salle, nous pouvons le suivre, visiblement. » Fit-elle pour lui expliquer ce qui l’attendait désormais.
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Lucy Schwartz
Lucy Schwartz
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Mar 1 Mai - 19:00


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Reese & Lucy


— Peut-être simplement parce que vous venez me cueillir à la fin d’un meeting ? Te forçant à t'éclipser comme une voleuse et tu n’aimais pas ça. Non, pas du tout. D’ordinaire tu restes après, tu réponds à des questions, tu salues des partisans mais pas aujourd’hui. Son arrivée t’en a privé. Ca avait été bizarre dès le début. Y’avait-il quelque chose de grave ? De vraiment grave ? Non. Si ça avait été ta famille, ça se serait déroulé autrement. Alors oui, à présent tu étais sur la défensive. Et le regard que te lança la policière ne te plaisait pas du tout. Mais très vite tu ne fais plus attention à cette inspectrice et son regard accusateur sur toi. C’est un mouvement dans la foule et des exclamations qui t’interpellent. Ce genre de chose n’annonce jamais rien de bon et tu ne désirais pas du tout voir un article dans le journal le lendemain clamant que des agressions avaient lieu à la fin des débats des Schwartz et de votre parti.

Alors tu as une idée. Une idée que tu espères ne serait pas mauvaise et ne se retournera pas contre toi. Mais là, tout de suite, tu n’as pas vraiment le choix que de lui demander son aide. Tu ne peux pas t’impliquer sans craindre de salir votre image. Ce qui serait très mauvais et Carter t’en voudra à coup sûr. Sur le coup tu hésites et regardes sa réaction. Elle sembla accepter sans broncher et se faufile à travail le groupe qui s’était formé. Tu ne voyais pas bien ce qui se passait mais tu sentis la tension monter d’un cran. Tu finis par apercevoir l’inspectrice qui se fit bousculer et finalement la situation changea et l’homme perturbateur se retrouva plaqué au sol par la brune. Sous le coup de la surprise, tu haussais les sourcils mais te ressaisis très rapidement. La policière s’avança vers toi par la suite, une fois avoir refiler l’homme à présent menotté aux gardes sur place. Elle s’adresse de nouveau à toi. — Euh, oui, mais vous avez bien agi. Je pense. , réponds-tu. Merci. Sincèrement. tu ajoutes en la regardant droit dans les yeux et en lui tendant la main pour la remercier. Même si quelque chose t'échappais encore et que tu ignorais le sujet des questions qu’elle avait à te poser, tu étais vraiment reconnaissante.

— Allons-y. Tu finis par dire en te frayant un chemin parmi les badauds présents. Tu rejoins à nouveau l’intérieur du bâtiment et arrives à la suite de ton équipe qui vous suit pour tous vos débats. — L’inspectrice est avec moi, occupez-vous de lui, j’ai quelque chose à régler en privé avec… l’enquêtrice, tu répliques réalisant qu’elle ne t’a pas donné son nom. Lorsque ta chargée de presse te lance un regard inquiet tu lui souris pour la rassurer. Tout va bien, tu tentes de lui dire dans ton regard confiant. Puis, tu cherches une salle à l'écart dans laquelle la brune et toi pourriez être tranquille et surtout loin des oreilles indiscrètes. Tu trouves une petite salle de repos avec une table, des chaises et même un petit canapé au fond avec un mini frigo. Tu l’invites à rentrer et désignes les chaises. — Je vous en prie, agent ..?., tu demandes attendant d’avoir finalement son nom. Toi, tu t’installes et croise les doigts sur la table. — Je vous écoute, quelles sont vos questions ?, tu demandes directement. Ca ne servait à rien de tourner autour du pot de toute façon.

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Jacob E. Ross
Jacob E. Ross
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Présent -
Mer 16 Mai - 13:17

« Maddox. » Rectifia-t-elle pour en informer la blonde en face d’elle.

A l’écart des discussions, et plus encore des oreilles indiscrètes, Reese vérifia qu’elles étaient désormais toutes deux dans une intimité relative avant de se prononcer. De quoi voulait-elle lui parler déjà ? Elle n’avait pas perdu de vu son objectif : loin de là. Elle portait ce désir de devancer les problèmes à bras le corps. Après son entrevue avec Raphael, les quelques informations qu’elle avait réussi à glaner, la brune s’en prenait à une autre face du problème. L’épidémie se propageait justement parce que tout ne communiquait pas, les rouages étaient rouillés, confus, grippés.

« Désolée de devoir passer par ces moyens pour réussir à obtenir des informations. »  Commença-t-elle sereinement, croisant les bras sur sa poitrine en se redressant.

Son visage ne trahissait aucune honte sur les méthodes qu’elle employait. Essayer de s’imposer n’avait pas été utile ici, mais Reese savait qu’il valait mieux y aller de front parfois, surtout avec des politiciens arrivistes. Lucy et son frère jumeau en faisaient largement parti. Le genre de requin dont elle se passait bien de fréquenter, mais qu’elle savait en possession d’élément qui lui importait.

« Je ne viens pas vous parler aussi officiellement que prévu, mes supérieurs interdisent d’approcher la caste politique, probablement pour ne pas soulever les problèmes. » Expliqua-t-elle à Lucy. Elle en faisait ce qu’elle voulait, ça n’était pas un reproche – quoi qu’elle trouvait ça parfaitement absurde – juste une déclaration tout ce qu’il y avait de plus banal. « Mais comme nous sommes tous largement éclabousser par cette merde, je me passe des autorisations pour l’instant. »

On pourrait lui en tenir rigueur, Reese s’en moquait franchement. Elle faisait ce qui était nécessaire pour sa survie, et celle de son équipier, ou de sa meilleure amie. S’il fallait mettre les deux pieds dans la boue pour ça, alors soit ! ça ne lui faisait plus si peur de se prendre un blâme, encore moins de devoir affronter le courroux du capitaine. Si un jour la situation se tassait – seulement si ! – peut-être songerait-elle a faire son mea culpa. En attendant, ça n’avait aucune importance :

« Votre position vous donne l’opportunité d’être proche des décisions politiques, et votre partie à le vent en poupe depuis quelques temps. J’aimerais savoir ce que vous avez à propos de cette… épidémie. » Expliqua-t-elle à Lucy. « Outre l’évidence, celle qui vous permet de vous servir de la maladie comme fer de lance de campagne. » Précisa-t-elle.

Mieux valait être davantage précise !

« Les prochaines mesures, les bruits de couloir, les rumeurs à ce sujet… Tout est bon à prendre. » Ajouta-t-elle finalement.
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